Les nouvelles vont vite, c’est l’effet « basse cour » des réseaux sociaux… Il paraît que notre évêque monseigneur Luc Crepy a apporté dans ses bagages quelques pensionnaires plutôt inhabituelles dans un évêché : des poules. Cela prouve (au moins) deux choses : qu’à Versailles, on a les idées larges ; et que notre nouvel évêque est vraiment dans le vent. L’élevage des poules en ville est en effet en plein essor, et pour d’excellentes raisons. Accueillir une poule dans son jardin, c’est la garantie d’une consommation d’œufs hyperlocale (œuf frais pondu du matin, dans le coquetier au petit déjeuner !) ; un soutien sans faille à la réduction des déchets car les gallinacées mangent de tout ; et la possibilité de méditer pendant des heures sur le sens de la vraie vie en regardant s’ébattre les petites poulettes depuis la fenêtre de sa cuisine ou de son salon. Face au coq, emblème dela France aux yeux du monde, la poule est l’étendard de l’écologie intégrale (mais ne la brandissez pas trop fort, ça lui ferait mal).

Si vous êtes tenté, mais pas sûr de vos compétences en volaille, vous pouvez contacter Tanguy Lorphelin, qui promeut l’élevage de poules en ville en fournissant un kit de démarrage (la poule, son mobil home et le reste) mais aussi un service de suivi régulier (un équivalent de l’aide sociale à l’enfance, mais pour la poule, si vous voulez, car il ne s’agit pas de maltraiter poule rousse !)

https://www.achacunsapoule.com, 06 48 01 36 11


Allez, un petit geste laudato si ? 

Les poules Paroisses Houilles Carrières